chair disparue (La) de Jean-Jacques Pelletier

	Alire 1998, 656 p. ISBN : 2922145239	Jean-Jacques Pelletier Lien(s) vers le Guide: - Jean-Jacques Pelletier - chair disparue (La) Lien(s) externe(s): - Jean-Jacques Pelletier sur L'Île
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Après avoir démantelé un réseau de trafic d'organe humain, l'agent spécial Paul Hurtubise trouve en guise de représailles ses deux enfants cisaillés. S en suis une période une période de deuil difficile. Pour l'aider, il y a F. de l'Institut qui prend soin de ses agents et qui doit prendre garde à ce que les criminels ne prennent trop de terrain. F craint la mondialisation du crime. C'est ainsi que l'on voit les «bons» contre les «méchants». Il faut dire que du côté des bons, il y a de drôle de phénomènes...
C'est bien écrit, on ne s'ennuie pas, on veut savoir ce qui va se passer. Les moyens techniques utilisé par les personnages me semblent un peu tirés par les cheveux, par contre. La fin est décevante dans ce sens qu'elle est écrite en fonction d'une suite (que je vais lire) et elle ne répond pas à toute les interrogations.
Dans l'ensemble, un bon thriller où l'action se situe par chez nous.

Debut sur chapeaux de roues, j'ai du après quelques pages me faire un petit shéma sur qui? que? quoi? comment? car il y avait trop de choses en même temps mais à la suite de quoi, j'ai adoré ma lecture. Cette histoire palpitante, thriller, policière, espionnage se déroule en même temps en Thailande, Paris, Etats-Unis, Mntréal, Québec, etc... On y parle de trafic d'organes, d'art organique.....
C'est palpitant d'un bout à l'autre, une histoire passionnante comme je les aime, captivante et déconcertante. Je donne donc 4 etoiles. J'ai découvert cet ecrivain et j'ai bien hâte de lire ses autres livres.

Il s'agit d'une intrigue qui se passe à la fois au Québec et sur toute la planète. Trafic d'organes, mondialisation de la mafia. La mystérieuse F prépare un plan pour démanteler cette mafia insidieuse qui a choisi comme plaque tournante le Québec.
J'ai apprécié les 200 premières pages. J'étais embarquée dans l'intrigue qui me faisait penser à un croisement entre James Bond et TNT. J'aimais l'écriture fragmentée, rapide. Toutefois, par la suite, ma passion pour ce livre s'est estompée sans je j'arrive à mettre le doigt sur ce qui a déclenché cet état de fait. Naturellement, Pelletier a bien calculé son coup puisque le livre se termine sur une intrigue loin d'être terminée. Il faut donc lire la suite pour savoir si le Consortium sera anéanti.

Il s'agit d'un livre qui pioche essentiellement dans le registre du policier, et qui décrit la lutte qui s'organise entre un conglomera des mafias du monde contre «l'institut», sorte de service de renseignement occulte (ambiance «mission impossible» s'il arrive quoique ce soit à l'un de vos membres l'Etat niera avoir eu connaissance...). Et ce qui arrive à l'un des membres, Hurtebise, est si épouvantable que lorsque le choc traumatique le laisse revenir il est doté d'un syndrome de «personnalité multiple» et d'une nouvelle identité, mais la guerre va continuer...
Le théme est grave puisqu'il s'agit des mafias qui organiseraient le trafic des organes (mais est-ce un conditionnel?), le style est trés facile à lire.
Le moins c'est qu'en fait ce roman déjà imposant n'est que le premier d'une saga donc au bout des 600 pages en fait on a assisté qu'à la mise en place des forces en présence donc on reste un peu sur sa fin, d'autant que la multiplicité des personnages du livre impose une attention quand même assez soutenue, sans parler des personnalités multiples du héros...
Ce que j'ai beaucoup aimé c'est l'analyse de l'évolution de l'art par un des personnage du livre art/ho sorte de fou mégalomaniaque et pervers qui sculte la chair amis dont une pseudo analyse artistique ouvre chaque chapitre et qui parle des «séances» organisées par certains artistes actuels tel orlan qui suboit des opérations de «chirurgie esthétique» filmée ou elle reste consciente et qui sont diffusées dans des musées, mais d'autres qui peignent avec leur sang...
Donc au total je lui donne la note de 3/5 parce que j'ai bien aimé mais qu'il m'a abandonné sans fin donc si je réussi à trouver la suite peut-être que je réévaluerai ma note.